[Maison des Salvatore]
(Le téléphone de Damon sonne. Il répond)
Damon : Est-ce que vous savez que vous me dérangez là ?
Katherine : Avoue que je te manque
Damon : Katherine. Où es-tu ?
Katherine : Je me languis à ta fenêtre en soupirant de désir
Damon : Qu’est-ce que tu veux ?
Katherine : J’ai le mal du pays. Alors dis-moi, qu’est-ce que j’ai raté ?
Damon : Oh ma pauvre… Stefan qui est aux ordres de l’hybride et Elena qui croit pouvoir sauver son copain, ça fait longtemps que personne n’a pensé à toi
Katherine : Et toi qu’est-ce que tu deviens ? Depuis que t’as laissé tomber ton p’tit frère, je suis bien certaine que tu as trouvé le moyen de voler le cœur de sa copine
Damon : Je l’ai pas laissé tomber. Je sais pas où il est c’est tout
Katherine : Ah…
Damon : Par contre toi tu sais. Est-ce que tu les pisterais, dis-moi ?
Katherine : Avec un hybride qui veut ma mort et son acolyte qui est devenu un boucher, j’ai intérêt à me tenir à distance, non ?
Damon : Donc tu sais où ils sont
Katherine : Je sais seulement que Klaus a piqué une colère en voyant ses hybrides mourir et qu’il veut des réponses maintenant
Damon : Comment tu sais ça ?
Katherine : Quand tu passes un demi-siècle à fuir, il y a forcément quelques personnes qui veillent encore sur toi
Damon : Et c’est ce que tu fais ? Tu veilles sur mon p’tit frère ?
Katherine : Peut-être… peut-être pas. Je me pose la question
Damon : Où est-ce qu’ils sont ?
[Chicago]
(Stefan et Klaus sortent d’une voiture)
Klaus : Bon retour à Chicago Stefan
Stefan : Je peux savoir ce qu’on fait là ?
Klaus : Je veux te montrer un endroit que tu adorais qui peut te rendre la mémoire sur cette grande époque du boucher
Stefan : J’en garde peu de souvenirs en dehors de beaucoup sang et beaucoup de soirées. Les détails sont plutôt vagues
Klaus : C’est honteux ce que tu dis là Stefan vraiment. Ce sont les détails qui font les légendes
Chicago, années 20
Klaus : LA rumeur courait que le boucher de Monterey se sentait seul, alors il est venu chercher un peu de réconfort en ville. C’était la prohibition. Tout ou presque était interdit. Ce qui rendait tout ou presque tellement plus amusant
(Stefan est dans une voiture en train d’embrasser une femme mais ensuite il boit son sang et la tue. Il sort de la voiture et s’essuie la bouche)
(Il entre dans un bar. La chanteuse le voit)
Gloria : Oh, devinez sur qui mes yeux viennent de se poser, mesdames? On vient passer du bon temps Monsieur Salvatore ?
Stefan : Réserve-moi une danse Gloria
(Il s’apprête à prendre une coupe de champagne mais une femme le prend à sa place)
Stefan : Oh, je vous en prie, servez-vous
Rebekah : Oui c’est ce que je fais toujours
(Elle se rapproche, lui lèche les lèvres et lui chuchote à l’oreille. Elle s’est transformée)
Rebekah : Gare à vous, Mr Salvatore. Vous portez l’odeur de votre cavalière. Elle devait être ravissante
(Elle le regarde et part mais il lui attrape le bras)
Stefan : Une seconde. A qui ais-je l’honneur ?
(Elle lui fait signe de ne rien dire)
De nos jours, Chicago
Klaus : Chicago en ce temps-là, c’était magique
Stefan : Oui, disons que je vais te croire sur parole. Puisque j’en ai quasiment aucun souvenir
Klaus : Alors passons à ce qu’on est venus faire
Stefan : Pourquoi je te suivrais ? On s’est bien amusés mais ton armée ça n’a pas marché. T’as pas envie de passer à autre chose ?
Klaus : On va aller voir ma sorcière préférée justement. S’il y en a une qui peut résoudre le problème des hybrides, c’est elle
[Maison des Gilbert]
(Elena est en train de dormir. Elle se retourne et se retrouve sur Damon)
Damon : Mm… il est l’heure de se lever petite marmotte
(Elena sursaute et se précipite hors de lui)
Elena : Mais qu’est-ce que tu fais là ? Va-t’en
Damon : Alors comme ça on rêve de moi ? Tu as bavé sur ma chemise
(Elle regarde son réveil)
Elena : 6 heures du matin ? Sérieusement, t’as rien de mieux à faire que de venir si tôt le matin ?
Damon : Très bien, ne m’aide pas à ramener Stefan alors. A un de ces quatre
(Il se lève)
Elena : Non attends, attends une seconde. C’est quoi ça encore. De quoi tu parles ? Tu sais où il est ?
Damon : La ville des vents
Elena : Il est à Chicago ? Comment tu le sais ?
Damon : Oh, je l’ai rêvé, tout nu dans mon lit. T’aurais adoré. Prépare-toi
Elena : Est-ce qu’il va bien ?
Damon : Disons qu’il ne s’y est pas rendu pour voir un opéra
(Il fouille dans un de ses tiroirs et en sort une petite culotte)
Damon : Oh, je te supplie d’emporter ça
(Elle se lève et la lui arrache des mains et la remet dans le tiroir)
[Une cellule]
(Caroline est toujours attachée à une chaise. Elle entend du bruit)
Caroline : Papa t’es là ? Pourquoi tu refuses de me parler ? Papa ?
(De la fumée s’infiltre dans la cellule. Bill entre)
Bill : Sache que je regrette qu’une chose pareille t’arrive. J’ai besoin de réponses. Comment fais-tu pour sortir le jour sans crainte ?
Caroline : Relâche-moi
Bill : Fais un effort ma chérie. Il te suffit de répondre et on en finit avec ça
Caroline : C’est tout ce que tu veux savoir ?
Bill : C’est tout, rien d’autre
(Elle regarde sa bague et il suit son regard)
Bill : Intéressant
(Il la lui enlève)
Caroline : Attends non arrête. Non, mais non
(Il jette la bague sur le sol)
Caroline : Qu’est-ce que tu fais ?
Bill : Ce sont tes ancêtres qui ont bâti cet endroit. Tout le monde a cru que c’était pour y enfermer les prisonniers mais ils avaient bien d’autres choses en tête. Diffuser de la veine de vénus leur permettait d’affaiblir leur proie. Avec ce fauteuil en acier qui les immobilisaient et avec ça. Un volet
Caroline : Mais qu’est-ce que tu fais ? Papa ?
(Il lui montre une poche de sang et elle se transforme. Il cache de nouveau la poche)
Bill : L’appel du sang ma chérie. Et c’est avec ça que je vais t’en délivrer
Caroline : M’en délivrer ?
(Il ouvre le volet et le soleil s’infiltre. Elle brûle et hurle)
[Voiture de Damon)
(Damon et Elena sont en route pour Chicago)
Damon : J’espère qu’on le trouvera. Ce serait dommage que le dernier souvenir de Stefan soit cette vieillerie montée en collier
Elena : C’est une antiquité, Damon. Comme toi
(Il récupère un journal intime de la banquette arrière)
Damon : Tiens, lis ça histoire de te faire une petite idée des débuts de Stefan à Chicago
Elena : Mais enfin, c’est son journal ! J’ai pas à connaître ses pensées intimes.
Damon : Alors un conseil, mieux vaut te préparer. Tu vas pas t’en remettre sinon
Elena : Je l’ai déjà vu dans ses pires moments. Je pourrais gérer
(Il ouvre le journal)
Damon : Ecoute : ‘’Le 12 mars 1922. Je ne sais même plus ce que j’ai fait. Réveil au beau milieu de bains de sang dans des lieux qui me sont étrangers, parmi des femmes qui me sont inconnues.’’ Oh c’est vraiment choquant ! Stefan n’est plus vierge
(Elle lui prend le journal des mains)
Elena : On regarde la route grand-père
Damon : Parfait. Alors reprenons mon jeu favori : écraser un petit hérisson
(Elle ouvre le journal et lit)
Chicago, années 1920
(Stefan est au bar. Il boit avec des amis. Rebekah danse avec un autre homme mais elle s’arrête et rejoint Stefan et son groupe d’amis)
Rebekah : Navrée de jouer les rabats joies mais il y a des gens ici qui respectent les musiciens. Pas vous
Stefan : Tu m’en vois désolé trésor. On t’as choqué peut-être ?
(Le groupe rigole. elle s’approche et lui touche le visage)
Rebekah : Il en faudrait bien plus qu’un beau petit voyou dans ton genre pour me choquer
(Elle s’apprête à partit)
Stefan : Hey. Tu comptes me dire comment tu t’appelles ?
Rebekah : Mais oui, quand tu le mériteras. Rends-donc un service à Gloria mets la en sourdine
(Elle part. et recommence à danser)
De nos jours, Chicago
[Bar de Gloria]
(Klaus et Stefan entrent)
Klaus : ça te rappelle quelque chose ?
Stefan : J’en reviens pas que ce club existe encore
(Une femme entre)
Gloria : Incroyable mais vrai
Klaus : Alors, c’est l’histoire d’un hybride qui se pointe dans un club et aussitôt…
Gloria : Arrête. Tu es peut-être invincible mais ça ne fait pas de toi un humoriste
(Elle regarde Stefan)
Gloria : Je me souviens bien de toi
Stefan : Oui, Gloria ? Mais vous ne devriez pas… ?
Gloria : Etre morte et enterrée ? Si je l’étais, qui dirigerais ce bel endroit, hum ?
Klaus : Gloria est une puissante sorcière
Gloria : Je sais retarder les effets de l’âge avec des herbes et des incantations mais un jour ou l’autre la mort me fauchera
Klaus : Stefan, tu voudrais être gentil et aller nous préparer un petit verre au bar, s’il-te-plait ?
Stefan : Oui, pas de soucis
(Il va au bar. Klaus regarde Gloria)
Klaus : Tu es plus ravissante que jamais trésor
Gloria : Non. Je sais pourquoi tu es là tu n’arrives pas à créer d’autres hybrides. Les nouvelles vont vite
Klaus : Qu’est-ce que j’ai fait de travers ? J’ai brisé la malédiction pourtant
Gloria : Et ça ne marche pas ? Ok, il y a évidemment au moins une faille quelque part mais pour une malédiction aussi ancienne, il faudra entrer en contact avec celle qui te l’a jeté
Klaus : En deux mots : avec la sorcière originelle. Morte depuis longtemps
Gloria : Je sais mais s’il me faut prendre contact avec elle j’aurais besoin d’aide. Amènes moi Rebekah
Klaus : Rebekah… Rebekah et un peu prise en ce moment
Gloria : Elle a ce qui me sera utile. Amène-la-moi
(Stefan trouve une photo)
Stefan : Tu peux m’expliquer ?
Klaus : Mais je l’ai dit Stefan. Chicago est un endroit magique
Stefan : Mais c’est moi, avec toi
(Il lui montre la photo. C’est eux ensemble dans les années 20)
[Maison de Caroline]
(Liz appelle Caroline mais cette dernière ne répond pas. Elle laisse un message vocal)
Liz : Caroline ? C’est moi ma chérie. J’ai enfin le temps de souffler un peu après plusieurs nuits de garde. On pourrait déjeuner ensemble pour que tu me rappelle de pas trop travailler
(Tyler vient taper à la porte)
[Une cellule]
(Caroline pleure)
Caroline : Je te jure, je ferais plus jamais de mal. Papa, je te jure ! Je sais contrôler mes envies
Bill : Si tu savais les contrôler, tu ne réagirai pas comme tu vas réagir
(Il lui montre de nouveau la poche de sang. Elle se transforme)
Caroline : J’y peux rien. J’y peux rien…
Bill : C’est pour ça que je veux te conditionner à associer ton vampirisme à une horrible douleur. Et ensuite, à la seule pensée du sang humain, tu réprimeras de toi-même tes instincts de vampires
Caroline : C’est impossible sur moi, c’est… t’arriveras à rien, on change pas ce qu’on est
Bill : Si j’y arriverai
Caroline : Non
Bill : Si je vais te rappeler ce que ça fait
Caroline : Non pas ça. Non, non !
(Il ouvre le volet. Elle brûler et hurle)
[Un appartement à Chicago]
(Elena et Damon arrivent à un appartement)
Elena : Stefan aurait pu vivre n’importe où à Chicago et il a choisi ça ?
Damon : Oh mais il y avait une école de fille dans le coin. Qu’on a fermé pour disparitions suspectes. Curieux….
Elena : Si tu crois que je vais flancher et m’enfuir en courant, tu perds ton temps, ça marchera pas
Damon : Chut
(Il force la porte)
Damon : Et voilà. Bienvenue chez l’autre Stefan
Elena : On dirait qu’il est pas revenu depuis longtemps
Damon : On a pas fini la visite
(Il se dirige vers une étagère et la tire, ouvrant une ouverture cachée. La pièce est remplie de bouteille d’alcool)
Elena : Stefan planquait ses bouteilles ? Quel horrible monstre !
Damon : Regarde mieux que ça
(Elle entre et tourne la tête. Elle voit une liste de noms. De très nombreux noms)
Elena : Une liste de noms ? Celle de ses victimes ?
Damon : Tu gères toujours ?
Elena : Et tu faisais quoi dans les années 20 ? Tu préparais le terrain pour la libération des femmes ?
Damon : J’allais et je venais. C’est grand Chicago et Stefan n’était qu’un boucher arrogant. Un crétin que j’arrivais à éviter tout en cédant à de belles jeunes filles en robes de perles
Elena : Où est-ce que tu vas ?
Damon : A son ancien repère
Elena : Je viens avec toi
Damon : Non. Tu restes là et tu prépares un plan de bataille. Je reviendrai après l’avoir trouvé
(Il part)
[Un entrepôt ; Chicago]
Stefan : Enfin ça n’a aucun sens. Pourquoi je n’ai pas le moindre souvenir
Klaus : Tu l’as dit toi-même. Il y a des blancs à combler dans ta vie
Stefan : Si tu me connaissais, pourquoi tu m’as rien dit ?
Klaus : J’ai à faire pour l’instant. LE rappel d’une de tes vies antérieures…
Stefan : Je veux savoir ce qu’il y a derrière tout ça. Pour moi
Klaus : Saches qu’on est partis sur de mauvaises bases toi et moi. Pour être honnête, je te haïssais
Chicago, années 20
(Stefan se nourrit d’une femme. Rebekah se nourrit avec lui. Ils s’embrassent Il voit son collier. C’est celui qu’il a offert à Elena)
Stefan : C’est très beau
Rebekah : C’est une sorcière qui me l’a donné. Il a semble-t-il des pouvoirs magiques
Stefan : C’est-à-dire ?
Rebekah : Il m’a apporté l’amour, non ?
(Klaus arrive et l’attrape)
Klaus : Il se fait tard Rebekah. Partons
Rebekah : Lâche-moi
(Stefan se lève)
Stefan : Qui est cet homme ?
Rebekah : Stefan, non, il va te tuer. Niklaus est largement plus fort qu’il n’en a l’air
Klaus : Alors c’est toi le célèbre Stefan Salvatore ? J’ai si souvent entendu parler de toi. Et on dit vrai, qu’elle drôle de coiffure. Je m’ennuie à mourir, alors on va y aller
Rebekah : Vas-y donc mais sans moi. Je ne suis pas ta petite amie
Klaus : C’est vrai tu as raison. Et comme tu es ma sœur, tu es priée de suivre les ordres que je t’ai donné
De nos jours, Chicago
Stefan : Ta sœur. J’aurais donc connu un autre originel en dehors de toi ?
Klaus : Si ça te dérange tellement, ne pose pas la question
(Tous les cercueils contenant les originels sont là. Klaus en ouvre un. Rebekah est à l’intérieur, une dague dans le cœur. Il sourit et lui touche le visage)
Stefan : Je ne la reconnais pas
Klaus : T’avises pas de lui dire ça. Elle s’emporte facilement. Elle est pire que moi
(Il retire la dague)
Klaus : Tu peux te réveiller maintenant, petite sœur. Quand tu veux ma Rebekah
(Il regarde Stefan)
Klaus : Elle aime tout dramatiser
Stefan : J’aimerais bien que tu m’expliques ce que tu manigance. Ça me semble évident que je ne suis pas là pour rien, alors dis-moi
Klaus : Tu as de nombreux talents très utiles
Stefan : Ah oui ?
Klaus : Ah voilà. C’est toi qui m’a appris mon tour préféré
Chicago, années 20
(Klaus est à une table avec Stefan et Rebekah)
Klaus : Stefan, tu pourrais m’éclairer sur un détail te concernant ? Pourquoi serait-tu digne d’une originelle telle que ma sœur ? C’est un vampire de pure race. Toi tu n’es qu’un batard comparé à elle
Rebekah : Ne l’écoutes surtout pas mon cher Stefan. Niklaus croit faire partie de l’élite
Stefan : Mais où vit le reste de votre famille ?
Klaus : Oui comment dire… j’ai tué la plupart d’entre eux
Rebekah : Mais pas tous
Stefan : Oh et tu l’acceptes ? Tout ça ne te fais rien ?
Rebekah : On a tous eu le temps de choisir notre camp. Et il se trouve que j’ai choisi le bon
(Elle prend la main de son frère. un homme s’arrête à leur table)
Homme : Je peux savoir où est ma femme ?
Stefan : Oh alors là, j’en sais fichtre rien
Homme : ça joue les durs avec ça ! En se cachant ici à boire des liqueurs ! Un appel à la police vous mettre la idées en place !
(Klaus et Rebekah rigolent. Stefan appelle quelqu’un)
Stefan : Hey euh… Lila ? Oui toi. Monte nous voir s’il-te-plait
Homme : Ah tu es là. Allez viens, on s’en va
Stefan : Oh non, non, non. Une seconde
(Stefan lui attrape le bras et l’hypnotise)
Stefan : Tu restes là et tu t’assieds
(L’homme s’assoit à côté de Klaus et la femme à côté de Stefan. Il lui enlève son gant et prend un couteau)
Rebekah : Qu’est-ce que tu vas lui faire méchant garçon ?
Homme : Mais enfin, que voulez-vous lui faire ?
(Klaus est intrigué. Stefan taille le poignet de Lila et le sang se verse dans le verre)
Stefan : Je te remercie belle Lila. File et mets un pansement
(Elle part. Stefan hypnotise l’homme)
Stefan : J’aimerais que tu te joignes à nous pour un verre
(Il lui donne le verre contenant le sang de sa femme)
Homme : Mais quel genre de malade êtes-vous ?
Stefan : Joins-toi à moi. Vas-y, bois
(L’homme boit une gorgée)
Stefan : Oh et ton nom j’ai oublié
Homme : Allez au diable
(Klaus rigole)
Stefan : Un autre verre peut-être ?
Homme : JE m’appelle Liam. Liam Grant
Stefan : Liam Grant. Encore une gorgée très cher
(L’homme boit)
Stefan : Finis-le, allez. Jusqu’à la dernière goutte
(L’homme finit et Klaus rigole)
De nos jours, Chicago
Klaus : Et oui, je t’admirais figure-toi
Stefan : Et pourquoi je devrais croire un seul mot de ce que tu racontes ?
(Klaus hypnotise l’homme qui s’occupe de l’entrepôt)
Klaus : Dès qu’elle sera réveillée, dis-lui de nous attendre au bar de Gloria. Ensuite offre lui ta carotide et nourrit-là de ton sang jusqu’à ce que tu meures
Stefan : On va où ?
Klaus : Tu me traites de menteur mais pourtant on se connaissait. Tu m’as confié ton secret en ce temps-là alors je vais te prouver ce que je te dis
Stefan : Ah oui et comment ?
Klaus : Je vais te montrer ton ancien repère
[Bar de Gloria]
(Damon entre)
Gloria : Oh ça alors. Qu’est-ce qui me vaut le plaisir ? La dernière fois qu’on s’est vus, tu supportais pas cet endroit
Damon : Gloria. Incroyable. Alors ça c’est miraculeux. J’aurais dû rester
Gloria : Toi je t’ai toujours aimé mais Stefan, lui par contre, il fréquente toujours les voyous
Damon : Tu l’as vu récemment ?
Gloria : Avec Klaus. Ça augure rien de bon
Damon : Tu sais où ils sont ?
Gloria : Ils vont repasser ce soir. Ils sont partis faire une course pour moi
Damon : Gloria…
(Il lui touche la main)
Damon : Joue pas les séductrices. Quel genre de course ?
(Elle retire sa main)
Gloria : Oublie chéri. T’es vraiment beau gosse mais tu restes un vampire
[Ancien appartement de Stefan]
(Elena lit le journal de Stefan)
Stefan : Avril 1922. Lexi est tombée sur moi hier soir. Elle m’a traînée hors de la voie ferrée. Elle veut me délivrer de mon indifférence)
(Elle tourne une page)
Stefan : Juin 1924. Oh, Lexi me rend fou. Encore du sang animal. Encore de la souffrance
(Elle tourne les pages)
Stefan : 1935. Les pulsions sont là mais c’est plus facile. Lexi est déjà sur son nouveau projet : parvenir à me faire rire
(Elle a un léger sourire et entend alors Stefan et Klaus approcher. Elle est sous le choc. Klaus se rend compte que la porte a été forcée. Il donne un coup de pied dans la porte et ils entrent. Elena n’est plus là)
Klaus : Tu l’as flairé toi aussi ? Cette présence
(Elena est cachée dans le placard secret)
Stefan : Personne ne vit ici. Je suppose que des squatteurs y traînent de temps en temps. Alors pourquoi tu m’as fait venir ?
Klaus : Ton ami Liam Grant, celui que tu avais forcé à boire le sang de sa femme. J’avais jamais pu comprendre pourquoi tu avais voulu connaître son nom. C’est là que tu m’avais confié ton secret. Ce nom faisait partie intégrante de ton petit rituel personnel
(Elena se tourne vers la liste et voit le nom de Liam)
Stefan : Je devais le noter
Klaus : Pour revivre le carnage. Le revivre et le revivre encore
(Il ouvre la porte du placard)
Klaus : Tu me crois maintenant ?
(Stefan entre dans le placard afin de voir la liste. Il tourne la tête et est très étonné de voir Elena. Elle le regarde, le regard plein d’espoir. Il la regarde. Ils ne disent rien)
Stefan : Regarde ce que j’ai trouvé
(Elena est effrayée mais Stefan prend une bouteille et la donne à Klaus. Elle est soulagée)
Stefan : 1918. Un pur malt
Klaus : Presque 100 ans d’âge. On va se trouver quelqu’un pour aller avec
(Stefan ferme la porte du placard)
(Elena est cachée dans une pièce. Elle a une seringue de verveine à la main. Elle entend quelqu’un arriver mais ce n’est que Damon)
Elena : Oh t’es enfin là ! Ça fait tune heure que je t’ai appelé
(Il lui lance son sac)
Damon : Habilles-toi et vite ! Je sais où Stefan passera la nuit
(Il s’assoit)
Elena : Je te signale que Klaus a bien failli me voir et c’est ma tenue qui te prend la tête ?
Damon : ça fait une heure que je me reproche de t’avoir laissé toute seule alors prépare-toi, qu’on se tire au plus vite. Ça y est, t’es remise ?
Elena : ça y est
Damon : Très bien. Cool. Allez, file t’habiller vite. T’as l’air de rien comme ça.
Elena : Où il sera alors ? Dis-moi
Damon : Avec Klaus, que je compte distraire le temps que tu t’occupes de Stefan
Elena : D’accord. Merci
Damon : Mais ça nous fera environ 5 minutes de répit avant que ce taré d’hybride se jette sur moi et m’arrache le cœur. Je veux donc que tu m’assures que tu y arriveras
Elena : Oui j’y arriverai
[Bar de Gloria]
(Klaus et Stefan sont au bar. Gloria leur sert 2 bières)
Gloria : Où est Rebekah ?
Klaus : Elle arrive mais je sais pas la faire apparaître par magie. Qu’est-ce que t’as ? C’était bien ton terrain de jeu préféré cette ville, non ?
Stefan : Alors c’est pour ça que tu me voulais auprès de toi ? Parce que tu prenais plaisir à me voir torturer ces pauvres malheureux ?
Klaus : J’avais deux raisons pour ça. Et c’est l’une d’elles
Stefan : Et la seconde ?
Klaus : Et la seconde Stefan c’est que toi aussi tu as voulu faire équipe avec moi en ce temps-là
Chicago, années 20
(Stefan et Klaus sont au bar)
Stefan : C’est de la jalousie. Si ta famille voulait ta mort, c’est parce qu’ils pouvaient pas être ce que tu es
Klaus : Il y a pas de quoi vouloir être une abomination
Stefan : Non. Un grand seigneur
(Klaus sourit et Stefan rigole)
Klaus : Regarde nous. 2 pauvres orphelins
Stefan : Et oui
(Ils se tournent vers Rebekah)
Klaus : On dirait que ma sœur te porte dans son cœur. Mais garde à toi. Il faut que tu le saches. Rebekah ne fait jamais rien à moitié, même dans le domaine amoureux. Alors s’il-te-plait fait gaffe. C’est une vraie malade
Stefan : Je te remercie pour tes bons conseils
Klaus : Oh et puis, sois sûr que le moment viendra où évidemment elle voudra te quitter parce qu’elle n’y peut rien, c’est ainsi qu’elle est. Alors ne laisse surtout pas ton cœur te pousser à faire une bêtise
Stefan : Tu es un véritable ami. Je suis content de te connaître
De nos jours, Chicago
(Klaus lève son verre)
Klaus : Alors à nous mon ami
[Une cellule]
(Caroline est couverte de marques de brûlures)
Bill : Je tiens à ce que tu le saches : quand Carol Lockwood m’a appelé et m’a dit pour toi, je me suis assis et j’ai pleuré
Caroline : Je vais bien tu sais. J’ai appris à m’y habituer et j’ai pas besoin qu’on me guérisse. Personne ne pourra me guérir de ça
Bill : Nous t’avons toujours appris à te dépasser. Alors vas-y, prouve moi que tu peux te dépasser maintenant
(Il lui montre une poche de sang. Elle ne se transforme pas)
Bill : Tiens, tu vois, tu y arrive
Caroline : Impossible
Bill : Tu vas y arriver, contrôle-toi
Caroline : Impossible. J’en meurs d’envie
Bill : Je m’en doute mais vas-y, force toi
Caroline : Pourquoi ? Tu sais bien que ça a aucune chance de marcher
Bill : Il va le falloir. On a pas le choix
Caroline : Pourquoi tu tiens tant à vouloir me guérir ?
Bill : Je veux pas avoir à te tuer
(Elle se transforme)
Caroline : Tu vois, je peux rien contrôler
(Il lève la tête pour regarde le volet)
Bill : Le soleil se couche. On resserra demain
(Il lui carasse la tête et sort et se rend compte que Lie est là, une arme pointée sur lui)
Liz : Bonjour Bill
Bill : Baisse ce révolver Liz. Je sais ce que je fais
Liz : Là il s’agit de notre fille qui t’admire, qui t’aime
Bill : alors elle comprendra que je fais ce qu’il faut. Laisse-moi m’occuper de ça. Pas parce qu’elle est un monstre mais parce que nous l’aimons
Liz : Tyler
(Il sort de l’ombre et descend les escaliers)
Bill : Tu n’entres pas là-dedans
(Liz tire juste à côté de lui)
Liz : Va la libérer
(Tyler entre)
Caroline : Tyler…
(Il se précipite vers elle et lui retire les chaines)
Tyler : C’est bon, je t’emmènes loin d’ici
Caroline : Ma bague. Ma bague
(Il la ramasse et la lui met au doigt. Ensuite il la prend dans ses bras et la fait sortir)
[Bar de Gloria]
Stefan : Dis-moi une chose. Si on étaient si bons amis toi et moi, pourquoi est-ce que je te vois comme ce taré d’hybride qui a tué la fille que j’aimais sur l’autel du sacrifice ? Explique-moi
Klaus : Parce que toute bonne chose a une fin
Chicago, années 20
(Stefan et Rebekah dansent. Klaus les regarde en souriant. Il sent alors quelque chose. La police entre et tire partout
Homme : Personne ne bouge ! Police de Chicago !
(Rebekah et Stefan courent se cacher derrière le bar. Stefan ramasse une des balles)
Stefan : Ils tirent des balles en bois. Ils savent
Rebekah : ça veut dire qu’il est là
Stefan : Qui ? Qui est là ?
Klaus : Rebekah ! Dépêche-toi ! On doit filer !
(Elle se lève et Klaus l’attrape)
Stefan : Je peux savoir ce qu’il y a ?
Rebekah : Stefan
Klaus : Allez, avance
(Son collier est tombé. Stefan s’apprête à le ramasser mais Klaus l’interrompt)
Klaus : Stefan… tu m’excusera mais la fête est finir maintenant
Stefan : Mais de quoi tu parles ?
(Klaus l’hypnotise)
Klaus : J’aimerai que tu effaces tout souvenir de Rebekah et de moi-même. Jusqu’à nouvel ordre, tu ne nous a pas connus mais merci. J’avais oublié ce que c’était que d’avoir un frère
(Il disparaît)
De nos jours, Chicago
Stefan : Tu m’avais contraint à oublier
Klaus : On avait hâte de passer à autre chose ma sœur et moi et de recommencer à zéro ailleurs
Stefan : Mais pourquoi ? Rien ne vous forçais à brouiller les pistes sauf si vous deviez fuir un éventuel ennemi
Klaus : Fin de l’histoire, Stefan
(Stefan tourne la tête et voit Damon, qui lui fait signe de venir. Stefan se tourne ensuite vers Klaus)
Stefan : Je vais aller calmer ma soif. Ma vraie soif
(Il rejoint Damon à l’extérieur)
Stefan : T’es devenu dingue ou quoi ?!
Damon : Non mais t’entends ce que tu dis ?! Un jour tu me tue Andie, l’autre tu me sauves la vie. T’es qui ? Le bon ou le méchant ? Faut choisir !
Stefan : Klaus a failli voir Elena. Tu dois l’emmener hors de cette ville
Damon : C’est qu’elle refusera tant que tu seras pas en désintox pour vampire et sur le droit chemin. Je le sais bien, j’ai tout essayé
Stefan : Elle est la clef de tout. C’est elle, et Klaus ne doit pas se douter qu’elle est en vie
Damon : qu’est-ce qui a changé ?
Stefan : Elle aurait dû mourir lors du sacrifice qui n’a pas été le cas et Klaus n’arrive pas à créer de nouveaux hybrides ! Il a vu une sorcière et elle est sur le point de tout comprendre ! alors dis à Elena de rentrer et de m’oublier. De vraiment m’oublier
(Damon ne dit rien)
Damon : Dis-lui toi-même
(Stefan se tourne et voit Elena)
(Damon rejoint Klaus au bar)
Gloria : C’est bientôt l’heure de la fermeture, on finit son verre !
Klaus : Je vois que ce club accepte de faire entrer la racaille maintenant
Damon : J’ai déjà connu pire comme insulte
Klaus : Tu ne renonces jamais
Damon : Rends-moi mon p’tit frère et je ne croiserais plus jamais ton chemin
Klaus : Là je suis vraiment ennuyé. Tu vois, j’avais promis à Stefan de ne pas te tuer, mais combien de fois j’ai pris ce genre d’engagement ? T’as clairement envie de mourir, sinon tu ne serais pas ici
Damon : On se refait pas j’adore les sensations fortes
(Klaus l’étrangle)
(Stefan est dans le parking avec Elena)
Stefan : Tu devrais pas être ici
Elena : Où veux-tu que je sois ?
Stefan : Qu’est-ce que tu me veux ? Damon ne va pas détourner l’attention de Klaus très longtemps
(Elle lui touche le visage)
Elena : Ce que je veux moi, c’est que tu rentres
(Elle le prend dans ses bras et est sur le point de lui planter une seringue de verveine mais il s’en rend compte et lui torde le poignet, lui faisant mal)
Stefan : Je peux difficilement être plus clair. Je ne compte pas revenir à Mystic Falls !
(Il la lâche)
(Klaus tient Damon d’une main et lui enfonce un cure dents un peu partout dans le corps)
Klaus : Oh mon ami, ce que tu fais ne sert à rien. Et comme je suis un peu saoul, pardonne-moi si je loupe ton cœur une fois ou deux avant d’arriver à te tuer
Damon : Tu veux un complice pour tes crimes ? Alors oublie Stefan, je suis tellement plus marrant
(Klaus l’envoie valser un peu plus loin. Il ramasse un bout de bois et s’apprête à le tuer)
Klaus : Tu seras nettement moins marrant une fois mort
(Gloria intervient en brûlant le pieu avec ses pouvoirs)
Klaus : T’es sérieuse là ?
Gloria : Pas de mon bar ! Tu fais ça dehors !
(Klaus se tourne vers Damon)
Klaus : Tu perds ton temps à négocier liberté de ton frère, Damon. Une fois le dressage terminé, c’est lui qui ne voudra pas rentrer
(Elena et Stefan sont toujours sur le parking)
Stefan : Mais la création d’hybrides est son obsession ! Dès qu’il saura que t’es en vie, il saura pourquoi ça ne marche pas
Elena : D’accord, tu veux me protéger mais moi je refuse de te laisser faire. Rentre avec moi, je te le demande
Stefan : T’attends quoi de moi ?! Si je rentre, rien ne plus jamais pareil, Elena
Elena : J’en suis consciente
Stefan : J’suis pas sûr, non. J’ai laissé plein de cadavres derrière moi. De la Floride jusqu’au Tennessee. Des gens complètement innocents, des êtres humains
Elena : Lexi t’avais connu comme tu es là dans les années 20. Elle avait réussi à te sauver
Stefan : Tu sais ce que j’ai fait une fois sauvé ? J’ai mis les 30 années suivantes à m’en remettre ! A me reconstruire ! Pour un vampire c’est rien mais pour toi, c’est une grande partie de ta vie
Elena : Je ne renoncerai jamais à te sauver !
Stefan : T’y renoncera. C’est terminé. Cette partie de ma vie est terminée et je ne veux plus jamais te revoir ! Je ne veux plus jamais être avec toi ! Tout ce que je veux c’est que tu t’en aille
[Voiture de Damon]
(Damon rejoint Elena dans la voiture. Elle a le regarde perdu dans le vide et se raccroche à son collier)
Damon : ça va ?
Elena : Vas-y démarre
[Maison de Caroline]
(Caroline est allongée dans son lit. Elle termine sa poche de sang et le tend à Liz)
Caroline : Merci maman
Liz : Que ce soit lui ton père ou les autres membres de notre famille, on nous a transmis des croyances que nos propres parents avaient reçus des leurs. Ils nous on appris à jamais nous en écarter
Caroline : Tu l’as fait pourtant
Liz : Parce que tu m’as appris à voir tout ça d’un autre œil
Caroline : Et dire que je croyais que c’était lui qui m’avait comprise
Liz : ça a toujours été le cas et il te comprendra
(Tyler entre. Liz se lève et s’apprête à partir)
Caroline : Maman ? Merci d’avoir cru en moi
(Elle part afin de les laisser seuls)
Tyler : Je sais bien que c’est pas tout à fait le moment mais j’ai pas aimé que tu files en douce comme ça
(Elle sourit mais est au bord des larmes. Il vient la rejoindre et la prend dans ses bras. Elle fond en larme)
Caroline : Il me déteste. Mon père me déteste
Tyler : Hey, arrêtes
[Chicago]
(Klaus entre dans l’entrepôt où il y a tous les cercueils de sa famille. Celui de Rebekah est vide et le gardien est mort)
Rebekah : Rebekah… C’est ton grand frère J’aimerais que tu te montres, je ne vois pas où tu es
(Elle se jette sur lui et le poignarde avec la dague)
Rebekah : Va au diable !
Chicago, années 20
(Klaus et Rebekah s’apprêtent à monter dans une voiture)
Klaus : Dépêche-toi Rebekah il faut qu’on s’en aille
Rebekah : Je l’attends, il ne va pas tarder
Klaus : Tu tiens tant que ça à mourir ? Ils savent ce qu’on est. Il faut partir et vite
Rebekah : Jamais sans Stefan !
Klaus : Stefan ne viendra pas. Je ne veux laisser aucune trace. Lui il attirerait trop l’attention. Oublie-le
Rebekah : Qu’est-ce que tu lui as fait ?
Klaus : On y va et ravale ta colère. On a pas le temps
Rebekah : Je refuse de fuir plus longtemps ! On ne fait que ça, fuir ! Je veux rester avec Stefan
Klaus : Parfait. Dans ce cas ce sera lui ou moi
(Elle ne répond pas)
Klaus : Oui, c’est bien ce que je pensais. Dans le camion, en vitesse
Rebekah : Au revoir Niklaus
(Il finit par lui planter une dague dans le cœur)
De nos jours, Chicago
(Klaus retire la dague et la jette sur le sol)
Klaus : Ne boude pas. Tu savais que j’en mourrais pas
Rebekah : Non mais j’aurais aimé te blesser au moins
Klaus : Je peux le comprendre. Je comprends que tu m’en veuille à point-là. Je suis prêt à oublier pour cette fois seulement et en signe de paix je t’offre un cadeau. Vas-y tu peux entrer
(Stefan entre)
Rebekah : Stefan… ?
(Klaus se rapproche et l’hypnotise)
Klaus : Maintenant tu vas retrouver la mémoire
(Tout lui reviens en mémoire sur leurs moments ensemble à tous les 3)
Stefan : Rebekah…
(il se rapproche lentement d’elle)
Klaus : Stefan…
Chicago, années 20
(Stefan regarde le photographe)
Stefan : Hey s’il-vous-plait, prenez-moi en photo avec mon frère
(Stefan prend Klaus par els épaule et ils posent pour la photo)
De nos jours, Chicago
(Stefan regarde Klaus et Rebekah)
Stefan : Je me rappelle de toi. On était de vrais amis
Klaus : On est de vrais amis
(Il regarde Rebekah)
Klaus : Et quant à toi, la raison de te présence est dû à ce que j’ai appris de Gloria. Tu saurais comment contacter la sorcière originelle
Rebekah : La sorcière originelle ?
Klaus : Qu’as-tu que veux Gloria hein dis-moi ?
(Elle touche son cou mais se rend compte que le collier a disparu)
Rebekah : Où est mon collier ? Qu’est-ce que tu en as fait ? Je ne m’en sépare jamais !
Klaus : Qu’est-ce que j’en sais ? j’y ai pas touché
Rebekah : Il faut le retrouver et vite tu entends ?! Je veux le récupérer !
Klaus : Ne me dis pas que c’est ce que Klaus cherche hein ?! J’espère que non !
(Elle fouille le cercueil mais ne trouve rien. Elle envoie le cercueil valser sur le sol, le détruisant. Stefan a l’air inquiet)
[Maison des Salvatore]
(Damon est au téléphone avec Katherine)
Damon : Très bien, je l’admets. T’avais raison, il y était
Katherine : J’ai toujours raison. Laisse-moi deviner, encore des larmes et des cœurs brisés
Damon : Où es-tu ?
Katherine : Pourquoi ? Tu veux étaler un peu de crème solaire sur mon dos ?
Damon : J’dirais l’Europe. Italie peut-être. Ou encore l’Espagne. T’as toujours aimé ces fin de journées torrides
Katherine : Continue de chercher Damon. Bye bye
(Elle raccroche et rigole)
Chicago, années 20
(Le collier de Rebekah est sur le sol. Katherine arrive et est sur le point de le ramasser mais disparaît car Stefan arrive. Il ramasse le collier. Elle l’observe. Un homme vient parler à Stefan)
Homme : Salut fiston. Police de Chicago
Stefan : Je n’ai pas peur de vous
Homme : T’inquiètes pas, je suis pas venu pour toi
(Il lui montre un portrait de Klaus et Rebekah)
Homme : Est-ce que tu aurais croisé ces deux-là par hasard ?
Stefan : Non, c’est la première fois que je vois ces gens-là
Homme : On remballe les gars. On a plus rien à faire ici
(Il regarde Stefan et part. Stefan tient le collier de Rebekah. Katherine l’observe et part)
De nos jours
(Katherine sort de la cabine téléphonique. Il s’avère qu’elle est à Chicago)
Ecrit par popo34000